FILM : L'AGE D'OR
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Réalisateur Jean de LIMUR Interprétation  
Scénario Charles Méré Elvire Popesco Véra Termutzki  
Adaptation André Alerme Georges Dubélair  
Dialogues Charles Méré Jean Tissier Lubercy  
Musique Henri Goublier Gilbert Gil Henri Dubélair, leur fils   
Images Nicolas Hayer Andrée Guize Juliette Dubélair, sa femme  
Montage Jacques de Casembroot Denise Bréal Irène  
Décors Pierre Marquet Clément Duhour Boris Ivanovitch 
Production Les Films Minerva Louis Blanche Jules, le chasseur  
Directeur de prod. Jean Mugeli Gabrielle Davran  
Cadre Nicolas Hayer André Marnay  
Son René Louge Paul Barge  
Tournage 1941 Roger Blin  
Procédé noir et blanc Line Docéa  
Genre comédie Geo Forster  
Durée 85 min Frédéric Mariotti    
Sortie 1942 Yvonne Scheffer    
    Georges Sellier    

Résumé:
Les affaires de Georges Dubellay, gros industriel parisien, périclitent : sa dernière participation à la Société des Pétroles s'est soldée par un fiasco retentissant. Tandis que sa femme, Juliette, mange leurs économies sur les champs de course, il tente, sans plus de succès, de se refaire à la roulette. Jules, le chasseur du casino, lui vend deux billets de l'Exposition Universelle, qu'il empoche à tout hasard. Quelque temps auparavant, il a engagé comme professeur de turc l'explosive Véra Ternuzki : il la reçoit, en compagnie d'un garçon qu'elle présente comme son frère, Boris Ivanovitch. La jeune femme, voyant le couple en difficulté financière, accepte de servir comme femme de chambre, en attendant des jours meilleurs. En guise d'avance sur ses gages, elle se contente d'un des billets de loterie, qu'elle confie à Boris. Son patron garde l'autre par-devers lui. Le fils Dubellay, qui ignore ces soucis d'argent, se consacre à la peinture. Il a une jolie fiancée, Irène, qui pose comme modèle, et cela suffit à son bonheur. Vient le jour du tirage de la loterie. Il y a un billet gagnant de sept millions de francs : c'est celui de Véra. Poussé par son épouse peu scrupuleuse, Dubellay procède discrètement à un échange d'enveloppes. En compensation, il couvre Véra de cadeaux et la nomme intendante de son entreprise, tout en se lançant dans des affaires mirobolantes avec un escroc de haut vol, Lubercy, qui s'est trouvé là au bon moment. Il rêve de travaux somptuaires dans son hôtel particulier. Jusqu'au jour où Véra, sur une confidence d'Irène, découvre le pot aux roses : c'est elle la poule aux oeufs d'or. Il se confirme d'ailleurs qu'elle a la main heureuse : tout ce qu'elle touche fructifie au centuple. Penaud, Dubellay se voit ravalé, par un caprice du sort, à l'humiliante fonction de faire-valoir de son ex-employée. Mais celle-ci n'est pas rancunière pour un sou : elle fonde avec Dubellay et Boris, qui était en réalité son fiancé, une entreprise commerciale florissante, après avoir mis hors circuit Lubercy et sa bande de parasites

Critiques:

films sour l'occupation , pétain chef de l'état