FILM : LA MAIN DU DIABLE
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Réalisateur Maurice Tourneur Interprétation  
Scénario Jean-Paul Le Chanois Pierre Fresnay Roland Brissot
Adaptation Pierre Palau Le Petit Homme vêtu de noir
Dialogues Jean-Paul Le Chanois Josseline Gaël Irène
Musique Roger Dumas Noël Roquevert Mélissa
Images Armand Thirard Guillaume de Sax Gibelin
Montage Pierre Larquey Ange
Décors André Andréjew Douking Le Voleur
Production Continental Film Garzoni Le Jongleur
Directeur de prod. Jean Davy Le Mousquetaire
Cadre Marcel L'illusionniste
Son René Blanchard Le Chirurgien
Tournage Jean Despeaux Le Boxeur
Procédé noir et blanc  
Genre fantastique  
Durée 82 min    
Sortie 1943    
         

Résumé:
Un homme, qui semble traqué, arrive un soir dans une auberge isolée de montagne. Pour tout bagage, il porte un coffret qu'il serre précieusement sous son bra. Sa main gauche est gantée. Il raconte alors, devant les pensionnaires rasseemblés, son extraordinaire aventure. Peintre médiocre, Roland Brissot a acheté un jour, au cisinier italien Mélissa, un talisman : une mystéreuse main coupée, enfermée dans un coffret, pour un sou. Désormais, tout lui réusii. Il peint avec facilité de magnifiques toiles. La gloire et la fortune lui sourient en même temps que l'amour, en la personne de la belle Irène. Toutefois, il faut que le possesseur de la main la revende avant un an, moins cher qu'elle ne fut achetée, sous peine d'être damné... Roland oublie l'échénace fatitique et le Dible - sous l'aparence d'un petit homme vêtu de noir - lui annonce qu'il est prêt à lui racheter la main magique, mais que son prix doublera pour chaque jour de retard Pierre s'efforce de réunir l'argent nécessaire, en vain. Un soir de carnaval, il est confronté avec les sept détenteurs successifs, au cours des siècles, de la main coupée : le voleur, le jongleur, le mousquetaire, l'illusionniste, le chirurgien, le boxeur et le cuisinier. Pourchassé par le Diable, Roland terrifié, s'est réfugié dans ce lieu retiré. Il y trouvera la mort, précisément sur la tombe même du pieux moine Maximus Léo, auquel le Diable avait dérobé la main, trois siècles auparavant.

Critiques: