FILM : DOUCE
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Réalisateur Claude Autant-Lara Interprétation  
Scénario Jean Aurenche
Pierre Bost
Odette Joyeux Douce de Bonafé
Adaptation d'après Michel Davet Marguerite Moréno Madame de Bonafé
Dialogues Jean Aurenche
Pierre Bost
Jean Debucourt Engelbert de Bonafé
Musique René Cloerec
Maurice Vandair
Madeleine Robinson Irène Comtat
Images Philippe Agostini Roger Pigaut Fabien Marani
Montage Madeleine Gug Gabrielle Fontan Estelle
Décors Jacques Krauss Paul Oettly Le prêtre
Production Pierre Guerlais Julienne Paroli Thérèse
Directeur de prod. Fred Hérold Richard Francoeur Julien, le maître d'hôtel
Costumes Claude Autant-Lara Louis Florencie Le palefrenier
Son Robert Yvonnet Roger Blin L'homme au théâtre
Tournage Lycette Darsonval et le corps de ballet de l'Opéra
Procédé noir et blanc Marie-José La chanteuse 
Genre comédie dramatique Palmyre Levasseur la patronne de l'hôtel 
Durée 104 min Cécyl Marcyl la vendeuse de cierges   
Sortie 1943 autres acteurs

Albert Michel, Georges Bever (le frotteur), Fernand Blot (le livreur), Léonce Corne (le garçon d'hôtel), Albert Rémy (le sacristain), Charles Vissières (le mari de Thérèse)  

         

Résumé:
Alors qu'aux approches de Noël, la neige commence à tomber doucement sur Paris fin-de-siècle, les preparatifs de la fête s'activent dans l'aristocratique hôtel de Bonafé. Toujours déférent pour sa mère, douairère altière qui ne mâche pas ses mots, le doux Engelbert vient de faire installer un ascenseur dont les essais se font sous les yeux de la domesticité et de la gouvernante chargée de surveiller Douce, la jeune fille de la maison. Or, chacun des personnages qui vivent dans cette belle demeure, tiède et capitonnée, brûle de passion. Docue s'est amourachée du régisseur, le beau Fabien Marani, mais celui-ci a une liaison avec Irène l'institutrice qui sourterait fort sortir de son humble condition et autorise Monsieur de Bonafé à lui faire une cour à la fois discrète et empressée. les masques tombent doucement, la jalousie, le désespoir conduisent aux extrémités. A la fois pure et perverse, tentée par le péché, aveuglée par l'amour, Douce se décide à fuir avec le régisseur consentant. Les illusions de l'amour se dissipent vite et Douce, désenchantée, découvre l'hôtel médiocre, le garçon d'étage ignoble, un avenir douteux. La petite aristocrate n'ignore plus les liens qui unissent Irne et Fabien ; la mort qu'elle touve dans l'incendie du théâtre où son amant l'avait emmenée conclut tragiquement son unique et décevante aventure.

Critiques:

 




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