FILM : PREMIER DE CORDEE
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Réalisateur Louis Daquin Interprétation  
Scénario André Le Gall Pierre Servettaz 
Adaptation Roger Frison-Roche Irène Corday Aline Lourtier 
Dialogues Alexandre Arnoux Yves Furet Georges à la Clarisse 
Musique Henri Sauguet Lucien Blondeau Jean Servettaz 
Images Philippe Agostini Geymond Vital Maxime Vouillaz 
Montage Suzanne de Troeye Marcel Delaitre Ravanat dit le Rouge 
Décors Lucien Aguettand Maurice Baquet Boule 
Production Pathé Cinéma
L'Ecran Français
Jean Davy Hubert de Vallon 
Directeur de prod. Louis Wipf Roger Blin Paul Mouny 
Cadre Guy Decomble Warfield 
Son Pierre Calvet Mona Dol Marie Servettaz 
Tournage 1943 Andrée Clément Louise Servettaz 
Procédé Tosca De Lac l'acrobate 
Genre drame Louis Seigner Le docteur 
Durée Jean Duvaleix l'oncle Dechosalet   
Sortie 1944 autres acteurs Marius David , Jacques Dufilho (Fernand Lourtier ), Fernand-René (un guide) , Eugène Chevalier (un autre guide) , Jérôme Goulven (Napoléon) , Richard Francoeur (le client) , Claude Péran , Jean-Marc Thibault , Madhyanah Foy. 
         

Résumé:
Jean Servettaz, guide réputé de Chamonix, abandonne son métier pour se consacrer à une pension de famille. Son idée : éloigner son fils Pierre de la montagne et en faire un hôtelier. Mais Pierre Servettaz a la passion des cimes, comme Aline sa fiancée, et il se révolte contre la décision de son père. Malheureusement au cours d'une ascension, il a un grave accident qui entraine une trépanation. Guéri, il retourne vers la montagne, mais constate avec effroi qu'il est désormais la proie du vertige. Il renonce et part pour Paris travailler dans un grand hôtel. L'amour d'Aline, l'attrait de la montagne, le font bientôt revenir à Chamonix. Tenace et soutenu par l'amitié efficace de son camarade Georges à la Clarisse, il s'entraine et parvient à dominer son vertige. Lorsque son père, qui s'est dévoué pour guider dans l'orage un touriste imprudent, est tué par la foudre. C'est Pierre qui va, au péril de sa vie, chercher son corps Sa vocation triomphe, il sera guide. Voeu qu'avait d'ailleurs exprimé Jean Servetta peu avant sa mort.

Critiques: